La scène se passe dans une synagogue d’Amsterdam. Foule d’hommes portant le talit par-dessus leur chapeau avec l’arche sainte ouverte ; les femmes sont dans des galeries latérales séparées par des jalousies. Calmet a représenté des coutumes relatives à la lecture de la Meguila.Inscriptionsa : « Les enfants qui frappent avec des maillets sur des bancs et qui font un bruit épouvantable toutes les fois qu’on prononce le nom d’Aman » b : « Pierre que l’on mettait autrefois à l’entrée de la synagogue, sur laquelle était écrit le nom d’Aman, et que l’on écrasait avec des cailloux. Calmet a confondu deux cérémonies : la lecture de la Torah et celle de la Meguilah ! Source : Dictionnaire Historique, Critique, Chronologique, Geographique et Litteral de la Bible. Enrichi de plus de 300 figures en taille douce qui représentent les Antiquitez Judaïques – Nouvelle édition revue, corrigée et augmentée dans laquelle le supplément a été exactement refondu par le révérend Père Dom Augustin Calmet, religieux bénédictin, Abbé de Senones – première édition : Emery, Saugrain, Pierre Martin à Paris en 1730 – issu du livre » Dictionnaire historique, critique, chronologique, géographique et littéral de la Bible » d’Augustin Calmet (1672 -1757)